Un Saméonais, président d'une association nationale de défense de propriétaires englués
mardi 01.03.2011, 05:20 - La Voix du Nord
B. Vertray sait qu'il devra aller devant les tribunaux pour défendre les adhérents, à moins qu'une solution n'émane des banques.
Bernard Vertray aurait tant aimé ne pas avoir à créer l'association de défense des propriétaires de Villa Family. Ça signifierait peut-être qu'il n'aurait jamais investi dans ce concept de maisons regroupant personnes âgées et famille d'accueil ou au moins que le projet aurait abouti.
Lien vers l'article complet
Association des propriétaires de Villa Familly
Association des propriétaires de Villa Familly regroupé pour la défense de leurs intérêts face aux sociétés cap marine et atraite. Le but étant de permettre à terme une gestion des villa Familly en autonomie.
mardi 1 mars 2011
jeudi 12 août 2010
Declaration de créances
Nous invitons l'ensemble des proprietaires de Villa Family ou Domiciale a faire enregistrer leur créance auprés du liquidateur judiciaire au plus vite.
N'hésitez pas à contacter l'association si vous avez besoin d'une aide ou d'un soutien juridique.
N'hésitez pas à contacter l'association si vous avez besoin d'une aide ou d'un soutien juridique.
samedi 31 juillet 2010
Cap Marine et l'ensemble des sociétés de Mr Loubens en liquidation judiciaires
Monsieur Loubens a entamé la semaine dernière une mise en liquidation de ses sociétés.
La procédure de liquidation a été acceptée le 28 juillet par le Tribunal de commerce de Bordeaux.
Un administrateur judiciaire a été d’ores et déjà été nommé.
mercredi 30 juin 2010
La Villa Family entre ronces et orties - Article de la Nouvelle République
Pour un beau projet, c'était un beau projet : le concept de « Villa Family », initié par un Bordelais, Philippe Loubens, avait de quoi séduire. D'ailleurs, il a séduit et des usagers des « Villa Family » en sont d'ailleurs fort satisfaits.
Pas tous, loin de là : ça et là, des dysfonctionnements sont apparus. Le principe est pourtant simple en apparence : le promoteur construit des maisons doubles, pouvant accueillir chacune, en rez-de-chaussée, trois personnes âgées valides mais soucieuses de rompre avec une pesante solitude.
N'est pas
accueillant
qui veut
De l'autre, à l'étage des accueillants, qui prennent en charge les personnes âgées. Deux obligations : les accueillants doivent être remplacés par leurs voisins de la maison double s'ils s'absentent, et les repas doivent être pris en commun.
Le problème, en fait, est vite apparu : n'est pas accueillant qui veut et les contraintes sont importantes. D'ailleurs, quels enfants voudraient confier leurs parents à des personnes sans expérience ? Le conseil général de Loir-et-Cher a pourtant joué le jeu, en acceptant de donner son agrément si les qualifications sont en rapport. Tous les conseils généraux, devant ce concept novateur, n'ont pas accepté.
Problème : si les personnes âgées candidates ne manquent pas, ce sont les accueillants qui se découragent. Système trop lourd, trop complexe, disent-ils. Mais dès lors qu'il s'agit de personnes âgées, le principe de rigueur et de précaution ne doit-il pas s'appliquer ?
De plus, les personnes âgées se transforment en employeurs. Philippe Loubens a râlé contre ce qu'il appelle des « tracasseries administratives ». Et a initié un nouveau concept, les « Domitiales », qui transforme le principe d'accueil familial en domicile partagé.
Mais à Fontaine-les-Coteaux, les candidats accueillants ont été nombreux. Et tous ont renoncé. La belle bâtisse est achevée depuis la fin de 2008 et souffre de ne pas être occupée. Herbes folles, ronces et orties commencent à envahir les lieux. Philippe Loubens, malgré nos relances téléphoniques, est aux abonnés absents.
Pas tous, loin de là : ça et là, des dysfonctionnements sont apparus. Le principe est pourtant simple en apparence : le promoteur construit des maisons doubles, pouvant accueillir chacune, en rez-de-chaussée, trois personnes âgées valides mais soucieuses de rompre avec une pesante solitude.
N'est pas
accueillant
qui veut
De l'autre, à l'étage des accueillants, qui prennent en charge les personnes âgées. Deux obligations : les accueillants doivent être remplacés par leurs voisins de la maison double s'ils s'absentent, et les repas doivent être pris en commun.
Le problème, en fait, est vite apparu : n'est pas accueillant qui veut et les contraintes sont importantes. D'ailleurs, quels enfants voudraient confier leurs parents à des personnes sans expérience ? Le conseil général de Loir-et-Cher a pourtant joué le jeu, en acceptant de donner son agrément si les qualifications sont en rapport. Tous les conseils généraux, devant ce concept novateur, n'ont pas accepté.
Problème : si les personnes âgées candidates ne manquent pas, ce sont les accueillants qui se découragent. Système trop lourd, trop complexe, disent-ils. Mais dès lors qu'il s'agit de personnes âgées, le principe de rigueur et de précaution ne doit-il pas s'appliquer ?
De plus, les personnes âgées se transforment en employeurs. Philippe Loubens a râlé contre ce qu'il appelle des « tracasseries administratives ». Et a initié un nouveau concept, les « Domitiales », qui transforme le principe d'accueil familial en domicile partagé.
Mais à Fontaine-les-Coteaux, les candidats accueillants ont été nombreux. Et tous ont renoncé. La belle bâtisse est achevée depuis la fin de 2008 et souffre de ne pas être occupée. Herbes folles, ronces et orties commencent à envahir les lieux. Philippe Loubens, malgré nos relances téléphoniques, est aux abonnés absents.
La phrase
'' Le commissaire aux comptes a déclenché une procédure d'alerte. ''
Bernard Vertray, qui réside dans le Nord, s'était vu conseiller cet investissement par son banquier. Il le regrette aujourd'hui amèrement. Mais il ne se décourage pas et a créé un comité de défense, rejoint par d'autres propriétaires ayant investi dans ces maisons.
« Ce qui était prévu, c'est que les investisseurs comme moi payaient le bâtiment avec un emprunt bancaire, remboursé par le loyer. La société de Philippe Loubens était chargée de construire, payer les travaux et gérer l'ensemble, mais j'ai très vite constaté des choses bizarres : un architecte qui n'était jamais sur le chantier, des entreprises payées au noir, des montages financiers bizarres. D'ailleurs, le commissaire aux comptes de la société de Philippe Loubens a déclenché une procédure d'alerte. J'espère que cela va permettre aux investisseurs comme moi de reprendre la main », explique Bernard Vertray.
L'association des propriétaires de Villa Family et Domiciales a été déclarée au Journal officiel du 13 mars 2010. Siège social : 166, rue de Bias, 59310 Saméon. Tél. 03.20.34.71.57.
L'association des propriétaires de Villa Family et Domiciales a été déclarée au Journal officiel du 13 mars 2010. Siège social : 166, rue de Bias, 59310 Saméon. Tél. 03.20.34.71.57.
Hervé Aussant
Contactez nous :
L'association des propriétaires de Villa Familly a été déclarée au Journal Officile du 13 Mars 2010.
Son siége social est au 166, rue de Bias, 59310 SAMEON.
Son président est Mr Bernard VERTRAY : Tel 03 20 34 71 57
Son siége social est au 166, rue de Bias, 59310 SAMEON.
Son président est Mr Bernard VERTRAY : Tel 03 20 34 71 57
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